mercredi 19 octobre 2011

OFFRE D'EMPLOI: le Responsable de données informationnelles

Projet : Promosanté/Inégalités sociales de santé

Employeur : Réseau francophone international pour la promotion de la santé
Section des Amériques
4126 rue St-Denis, bureau 200
Montréal (Québec) H2W 2M5
Statut : Temps partiel – 10 heures/mois
Durée : Du 15 novembre 2011 au 31 mars 2012
Salaire : Entre 17$-19$/heure selon expérience

Présentation de l’organisation

Le RÉFIPS est un lieu d'échanges et d'entraide pour les professionnels de la santé intéressés par la promotion de la santé de leurs communautés respectives. Il regroupe environ 800 membres répartis sur une trentaine de pays de la Francophonie qui partagent un intérêt pour l'émergence de
conditions favorables à la santé de leurs populations, la création de milieux favorables, le
renforcement de l'action communautaire, l'acquisition de meilleures aptitudes individuelles et la
réorientation des services de santé www.refips.org.

Mandat

Sous la supervision de la coordonnatrice, le Responsable de données informationnelles (site Promosanté) et d’animation (site inégalités sociales de santé) a pour mandat de :
· Mettre à jour et classer des contenus dans les bases de données des deux sites
· Développer une stratégie d’animation et animer le site sur les inégalités sociales de santé
· Participer à une formation sur Wordpress
· Effectuer une veille informationnelle sur les événements, les productions et les parutions sur
la promotion de la santé et sur les inégalités sociales de santé en milieu francophone
· Promouvoir les deux sites auprès de différents publics cibles, notamment les étudiant-e-s et
les organismes communautaires

Exigences et compétences requises

· Formation en santé communautaire ou autres domaines connexes
· Intérêt pour les nouvelles technologies de l’information et de la communication
· Excellentes capacités d’animation
· Connaissance de la promotion de la santé et des inégalités sociales de santé
· Maîtrise parfaite du français à l’écrit
· Compétences en recherche, analyse et synthèse
· Proaction, autonomie et dynamisme

Date limite pour postuler 6 novembre 2011
Seules les personnes invitées à une entrevue seront contactées. Les entrevues auront lieu la
semaine du 7 novembre 2011 et l’entrée en fonction se fera la semaine du 15 novembre 2011.
Pour postuler
Veuillez transmettre votre curriculum vitae, accompagné d’une lettre de motivation, à l’adresse
courriel suivante : lisandra.lannes@refips.org

lundi 24 janvier 2011

ATLAT : DÉTERMINANTS DE LA SANTÉ SONT ESSENTIELS POUR LE MIEUX ÊTRE DE NOS POPULATIONS



Selon la Charte d’Ottawa (1986) (Extrait Santé de la population- Agence de la santé publique du Canada), la promotion de la santé est le processus qui confère aux populations les moyens d’assurer un plus grand contrôle sur leur propre santé, et d’améliorer celle-ci. Cette démarche relève d’un concept définissant la « santé » comme la mesure dans laquelle un groupe ou un individu peut d’une part, réaliser ses ambitions et satisfaire ses besoins et, d’autre part, évoluer avec le milieu ou s’adapter à celui-ci
LIRE LA SUITE SUITE SUR :
http://atlatinternational.blogspot.com/2011/01/atlat-international-axe-ses-priorites.html

Aimes met le cap sur la France

L’association « Aimes Afrique», créée en 2005 par le Michel Kodom et un groupe de médecins et spécialistes togolais, a annoncé dimanche à Paris le lancement de sa représentation française.
Cette structure aura, notamment, pour tâche de collecter du matériel médical destiné aux hôpitaux du Togo, de monter des opérations humanitaires avec des chirurgiens français et des médecins de la Diaspora togolaise soucieux d’aider à l’amélioration du système de santé dans leur pays d’origine.
Cette association est ouverte à toutes les bonnes volontés, membres du corps médical ou non.
« Il est important de mobiliser nos collègues français et togolais. Nous avons besoin de leur aide et de leur compétence. De nombreux médecins togolais vivent en France ; ils peuvent revenir au Togo pour des missions de deux semaines », explique Michel Kodom.
Aimes mène des campagnes de soins gratuits (consultations, dépistage du sida et interventions chirurgicales) au Togo, mais également au Burkina et au Mali.
Depuis sa création, cette ONG a à son actif des milliers d’opérations.


source:

http://www.aimes-afrique.org/

http://www.republicoftogo.com/Toutes-les-rubriques/Sante/Aimes-met-le-cap-sur-la-France

lundi 3 janvier 2011

4° meeting international d'athlétisme handisport en Avignon - France






Heure 14 mai · 08:00 - 18:30

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Lieu Avignon - Vaucluse - Région PACA - France

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Créé par Jean-marc Ternullo

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En savoir plus Informations & inscriptions : handisportendurance@yahoo.fr

mardi 26 janvier 2010

RD CONGO : Campagne de l'ATA à Kimbanseke

En marge de la cérémonie, l’Ata a lancé la campagne de sensibilisation contre le sida. Un extrait d’une saynète devant faire le tour de tous les quartiers de Kimbanseke a été interprété par ses comédiens. Comme message principal de la pièce théâtrale, l’on retient cet appel des jeunes à la prise de conscience du virus qui décime l’humanité en allant se faire dépister et à cesser de rêver pour un paradis lointain que celui qu’on prépare soi-même en se donnant au travail. A ce sujet, le commissaire général de l’ATA, José Bau, a dressé ce constat : « Ce présent projet est initié pour le développement de Kimbanseke après un triste constat. Plus de 80% de jeunes de notre commune sont filles-mères. Et, parmi les causes essentielles, l’on a dénombré l’absence des loisirs sains, des bibliothèques ou salles de lecture… Nous avons pensé pouvoir encadrer la jeunesse en leur apportant un cadre idéal. »

Et, le bourgmestre de Kimbanseke, qui est lui-même un homme de culture et professeur à l’Ina, d’ajouter : « Cette pièce nous interpelle tous en tant que parents de savoir gérer et assurer l’éducation sexuelle de nos enfants comme faisaient, jadis, nos ancêtres au village autour du feu. A nos artistes, il faut tenir compte de niveau de la population pour que le message essentiel passe ! »

La campagne de sensibilisation contre le sida est soutenue par la Fondation hollandaise NASF.

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José Bau Diyabanza
Commissaire Général de
L'Atelier-Théâtr'Actions "ATA"
178, Avenue commerciale Q.7
Tél: 00243818139149
Kinshasa - Nd'jili / R.D.Congo
www.cooperation.net/prince

samedi 2 janvier 2010

Les cellulaires sont-ils dangereux pour la santé?


Après deux ans de tergiversations, l'Organisation mondiale de la santé s'apprête à publier l'étude Interphone, qui regroupe 16 analyses réalisées dans 13 pays sur les effets des téléphones portables sur la santé. Depuis quelques années, des études aux conclusions opposées ont alimenté la confusion.

L'une des plus importantes a paru au début du mois de décembre. Une analyse danoise du fichier des tumeurs en Scandinavie n'a montré aucune augmentation du nombre de cancers du cerveau liée aux portables entre le milieu des années 90 et le début des années 2000. L'étude a immédiatement été critiquée à cause de la lenteur avec laquelle se développent les tumeurs au cerveau.

D'autres études sont plus inquiétantes. À la mi-octobre, une équipe américano-sud-coréenne a regroupé 23 études totalisant 38 000 participants et a calculé qu'utiliser un portable pendant 10 ans ou plus augmente de 18% le risque d'avoir une tumeur au cerveau. Et en novembre, une étude suédoise a montré que les portables augmentent la quantité d'une molécule du cerveau dans le sang.

Cette dernière étude est particulièrement importante parce que les autorités médicales et environnementales ne tiennent compte pour le moment que d'un «risque thermique» pour calculer le degré de risque des portables. Comme l'énergie des portables est bien inférieure à celle qu'on trouve à dans un four à micro-ondes ou près des tours de retransmission de télévision (les tours de retransmission téléphonique sont moins puissantes), le risque thermique est négligeable. Mais s'il existe d'autres effets biologiques, le risque devra être réévalué.


«Les quelques études qui ont montré des effets biologiques n'ont pas réussi à prouver un mécanisme», affirme David Coggon, épidémiologiste britannique qui vient de publier un commentaire sur la question dans la revue Occupational and Environmental Medicine. «C'est l'équivalent d'une augmentation de la température de la peau quand on est au soleil. Tant qu'on ne prend pas de coup de soleil, il n'y a aucune séquelle.»

L'Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail est arrivée à une conclusion similaire cet automne, ce qui l'a menée à suggérer des mesures de précaution: augmenter le nombre d'études, informer les usagers des émissions de chaque téléphone et des cartes d'ondes, et encourager les municipalités à trouver des manières de réduire l'exposition aux ondes.

Un comité du Sénat français vient même de recommander de diminuer l'exposition des enfants en interdisant la publicité de portables à leur intention et en interdisant aux élèves d'utiliser un portable à l'école. En France, plus de la moitié des enfants de 10 ans ont un téléphone portable.

Une telle mesure est-elle nécessaire ici? «Oui, parce que l'industrie va bientôt se tourner vers les enfants pour poursuivre sa croissance», explique François Therrien, de l'organisme québécois Sauvons nos enfants des micro-ondes.

La parution de l'étude Interphone de l'OMS alimentera certainement la réflexion. Certains des plus petits pays de l'étude ont déjà publié leurs résultats, dont certains sont inquiétants.

L'an dernier, la directrice de l'étude Interphone, Élisabeth Cardis, du Centre de recherche en épidémiologie environnementale (CREAL), à Barcelone, avait indiqué au quotidien français Le Monde que la parution tardive d'Interphone n'est pas liée à des pressions de l'industrie mais à un problème d'«interprétation des données».

La directrice des communications du CREAL a indiqué au début du mois de décembre à La Presse que la Dre Cardis ne voulait pas accorder d'entrevue avant la parution d'Interphone. Il faut dire que l'épidémiologiste d'origine française connaît son lot de pressions de tous côtés. La Dre Cardis n'est pas étrangère à la controverse: en 2006, elle avait publié, pour le Centre international de recherche sur le cancer, la plus vaste étude sur les effets de l'accident nucléaire de Tchernobyl sur la santé humaine. L'impact, avait écrit la Dre Cardis, avait été beaucoup moins élevé que ce qu'on avait prévu initialement. Cette prudence lui avait valu l'opprobre des groupes environnementaux. Interphone connaîtra peut-être le même accueil si elle blanchit les portables.

Mathieu Perrault
La Presse
cyberpresse

AFRIQUE EN SANTÉ